Au Sénat, où je suis élu depuis le 27 septembre 2020 parmi les membres du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain, je suis membre de la commission des affaires économiques et de la délégation sénatoriale aux entreprises. Je suis également membre des groupes d’études sur l’agriculture et l’alimentation, sur les cultures traditionnelles et spécialisées, sur l’élevage et sur la forêt et la filière bois.

Une séance publique dans l'hémicycle du Palais du Luxembourg.
La France peut redevenir une nation industrielle innovante et souveraine.

Parmi mes autres fonctions sénatoriales, j’ai présidé en 2022 la mission d’information sur le thème « Excellence de la recherche / innovation, pénurie de champions industriels : cherchez l’erreur française », je suis membre du collège consultatif de la commission du fonds pour le développement de la vie associative, de la Commission départementale de la coopération intercommunale, de la Commission départementale de répartition des crédits de la dotation d’équipement des territoires ruraux et de la Commission supérieure du numérique et des postes.

Je m’efforce de placer l’exercice de mon mandat parlementaire au service de la défense et de la promotion de l’intérêt général des territoires, avec la volonté de redonner au maximum l’initiative au terrain, suivant un principe de subsidiarité entre les niveaux local et national qui est au fondement de la liberté et de la libre administration des territoires.

Le principe de subsidiarité est aussi le meilleur moyen de maintenir le lien entre les décideurs et leurs publics.
Les thèmes de l'artificialisation des sols et du ZAN concernent les quatre commissions permanentes du Sénat.

Je suis tout particulièrement mobilisé sur les thèmes de l’artificialisation des sols et de la législation « zéro artificialisation nette » (ZAN). Le ZAN peut représenter un frein pour l’économie, la fiscalité, l’habitat et l’industrialisation. D’autant que les réalités locales ne sont pas suffisamment prises en compte en matière de calendrier et de moyens, suivant qu’une collectivité est plus ou moins vertueuse dans la maîtrise de l’espace urbanisé.

Enfin, je me mobilise sur le thème du désenclavement « tous azimuts » des territoires ruraux : désenclavement routier, ferroviaire, numérique, sanitaire, etc.

La mobilité au sens large est essentielle pour vivre et travailler dans un département rural.